Le grand silence (30 x 40 cm)
ACTUALITE

« Dorénavant »

Exposition à la Galerie La Ralentie

Elle crée son Ophélie, en reprenant au crayon de couleur et à l’acrylique une photo d’un tableau personnel qui renvoie à la toile homonyme de John Everett Millais. Elle établit des passerelles entre l’abstrait et le figuratif dans Coupure, là encore réinterprétation numérique de l’un de ses tableaux, tiré à l’encre pigmentaire sur papier Hahnemühle…

EN SAVOIR PLUS

Crépuscule (format 33 x 37 cm)

Estampes numériques

« Le choix du papier Hahnemühle, qui offre un exceptionnel rendu, n’est pas fortuit, car Floch expérimente les supports, comme le carton bulle, le papier de Chine Wenzhou - et parfois jusqu’aux plus inattendus, comme le papier sulfurisé alimentaire qui ménage des effets de matière et pourrait s’apparenter à un tondo contrecollé lorsqu’elle le travaille au feutre dans sa série « Rêveries numériques ».

 

VOIR LA GALERIE

Le cavalier (60 x 80 cm)

Techniques mixtes

« Floch est une artiste de son temps. Héritière de la lignée fondée par les pionniers du siècle dernier, elle crée des images composites en faisant appel aux technologies les plus récentes mises à sa disposition. Elle recycle parfois ses œuvres antérieures et assemble des éléments qui n’auraient, dans le réel, jamais dû se rencontrer, mais qui, loin de s’opposer, dialoguent et proposent de nouvelles associations symboliques et esthétiques. »

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Spring (format 30 x 40 cm)

Isabelle Floch

« Sa démarche vise à abolir les frontières entre les genres plastiques et les légendes. Ainsi, le spectateur s’interroge devant un Minotaure à la tête achéménide et le fantomatique Under his eyes… A-t-il affaire à des estampes bistrées, à des montages photographiques par superposition de strates et jeux de transparences ? Le papier Hahnemühle sur lequel ils sont tirés participe à l’esthétique raffinée de cette œuvre, numérique et cependant non-virtuelle. La rencontre de ce support et des techniques mixtes crée alors chez le regardeur l’un de ces effet de sidération qu’André Breton avait défini dans son Manifeste du surréalisme de 1924 : "La valeur de l’image dépend de la beauté de l’étincelle obtenue". »
Le grand silence (30 x 40 cm)

Isabelle Floch

« Sa démarche vise à abolir les frontières entre les genres plastiques et les légendes. Ainsi, le spectateur s’interroge devant un Minotaure à la tête achéménide et le fantomatique Under his eyes… A-t-il affaire à des estampes bistrées, à des montages photographiques par superposition de strates et jeux de transparences ? Le papier Hahnemühle sur lequel ils sont tirés participe à l’esthétique raffinée de cette œuvre, numérique et cependant non-virtuelle. La rencontre de ce support et des techniques mixtes crée alors chez le regardeur l’un de ces effet de sidération qu’André Breton avait défini dans son Manifeste du surréalisme de 1924 : "La valeur de l’image dépend de la beauté de l’étincelle obtenue". »
Spring (format 30 x 40 cm)
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« Dorénavant »

Exposition à la Galerie La Ralentie

Elle crée son Ophélie, en reprenant au crayon de couleur et à l’acrylique une photo d’un tableau personnel qui renvoie à la toile homonyme de John Everett Millais. Elle établit des passerelles entre l’abstrait et le figuratif dans Coupure, là encore réinterprétation numérique de l’un de ses tableaux, tiré à l’encre pigmentaire sur papier Hahnemühle…

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Crépuscule (format 33 x 37 cm)

Techniques mixtes

« Floch est une artiste de son temps. Héritière de la lignée fondée par les pionniers du siècle dernier, elle crée des images composites en faisant appel aux technologies les plus récentes mises à sa disposition. Elle recycle parfois ses œuvres antérieures et assemble des éléments qui n’auraient, dans le réel, jamais dû se rencontrer, mais qui, loin de s’opposer, dialoguent et proposent de nouvelles associations symboliques et esthétiques. »

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Le cavalier (60 x 80 cm)

Estampes numériques

« Le choix du papier Hahnemühle, qui offre un exceptionnel rendu, n’est pas fortuit, car Floch expérimente les supports, comme le carton bulle, le papier de Chine Wenzhou - et parfois jusqu’aux plus inattendus, comme le papier sulfurisé alimentaire qui ménage des effets de matière et pourrait s’apparenter à un tondo contrecollé lorsqu’elle le travaille au feutre dans sa série « Rêveries numériques ».

 

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